Chouraqui et les bons sentiments

Samedi 28 octobre

Que reprocher à Chouraqui dans Ô Jerusalem, adaptation du best seller éponyme si ce n'est de faire preuve de bons sentiments et de trouver de bonnes raisons aussi bien aux arabes qu'aux juifs dans le conflit du Moyen Orient. Les ficelles sont grosses, la mise en scène pesante, l'interprétation médiocre : la leçon d'histoire méritait un autre traitement quitte à être partiale.



28/10/2006
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 9 autres membres