Mexican connection
Lundi 6 novembre
Ils tournent, ils tournent les realisateurs mexicains...Mettons de côté Inarritu et son Babel, qui sort la semaine prochaine, et Cuaron et son Fils de l'homme, évoqué par ailleurs, et concentrons nous sur un troisième larron nommé Guillermo El Toro, qui n'est pas le moindre.
Son Labyrinthe de Pan, porté aux nues par certains magazines, ne mérite pas à mon avis d'être considéré comme un chef d'oeuvre mais il a au moins le mérite de l'originalité, et celui du culot, car mélanger onirisme féérique et réalisme du franquisme n'est pas une mince ambition. Pari à moitié gagné cependant car le liant entre des scènes à l'ambiance radicalement opposée n'est que rarement satisfaisant. Intéressant tout de même.