Confessions (Japon)
Kokuhaku (Tetsuya Nakashima, 2010)
Kokuhaku a longtemps été bien placé dans la course à l'Oscar du meilleur film étranger avant de disparaître de la "short list." Franchement, il ne méritait pas d'y figurer. Cette histoire de vengeance d'une enseignante, après la mort de sa fille, auprès de ses propres élèves cumule les défauts. Sa mise en scène est d'un mauvais goût atroce, saturé jusqu'à l'envi de ralentis et de coquetteries esthétiques. Un film affecté, pernicieux et d'une gratuité sanglante inutile. Berk.
Note : 3/10
Kokuhaku a longtemps été bien placé dans la course à l'Oscar du meilleur film étranger avant de disparaître de la "short list." Franchement, il ne méritait pas d'y figurer. Cette histoire de vengeance d'une enseignante, après la mort de sa fille, auprès de ses propres élèves cumule les défauts. Sa mise en scène est d'un mauvais goût atroce, saturé jusqu'à l'envi de ralentis et de coquetteries esthétiques. Un film affecté, pernicieux et d'une gratuité sanglante inutile. Berk.
Note : 3/10