Rêveries ouzbèkes
AVRIL 04 OUZBEKISTAN
C'est Stéphanie qui m'a entraîné sur la route de la soie. Belle architecture mais qui ne vaut pas celle de l'Iran. Reste la place du Reghistan à Samarkand : magique.
Je me souviens :
des baskets bleues de Stéphanie
d'un premier café à Tachkent
de la jeunesse de notre guide, Shevket
du dromadaire de Khiva
des cacahuètes enrobées de sucre
d'avoir fumé des Pine light
d'une invitation à domicile d'une jeune fille de 16 ans
du plov, des brochettes, des raviolis
d'une longue conversation à Boukhara
d'une bouteille de champagne bue à 2
de vieux qui jouent aux dominos et des touristes qui les mitraillent
de l'équilibre parfait de la place du Reghistan à Samarkand
des marchés et des robes rouges des femmes
de la nécropole et de la mosquée de l'épouse de Tamerlan
des vestiges du palais de Tamerlan
d'avoir "volé" des morceaux de mosaïque
des innombrables barrages routiers
d'une nuit dans une datcha
du grand bazar de Tachkent, lieu d'attentats récents
C'est Stéphanie qui m'a entraîné sur la route de la soie. Belle architecture mais qui ne vaut pas celle de l'Iran. Reste la place du Reghistan à Samarkand : magique.
Je me souviens :
des baskets bleues de Stéphanie
d'un premier café à Tachkent
de la jeunesse de notre guide, Shevket
du dromadaire de Khiva
des cacahuètes enrobées de sucre
d'avoir fumé des Pine light
d'une invitation à domicile d'une jeune fille de 16 ans
du plov, des brochettes, des raviolis
d'une longue conversation à Boukhara
d'une bouteille de champagne bue à 2
de vieux qui jouent aux dominos et des touristes qui les mitraillent
de l'équilibre parfait de la place du Reghistan à Samarkand
des marchés et des robes rouges des femmes
de la nécropole et de la mosquée de l'épouse de Tamerlan
des vestiges du palais de Tamerlan
d'avoir "volé" des morceaux de mosaïque
des innombrables barrages routiers
d'une nuit dans une datcha
du grand bazar de Tachkent, lieu d'attentats récents