Un printemps grec
AVRIL 95 GRECE
On dira ce qu'on voudra : les îles grecques au printemps ont un fort goût de paradis. On aurait tort de s'en priver.
Je me souviens :
des travestis de la place Omonia à Athènes
de la foule à l'Acropole
du charme des ruelles en haut de Plaka
de minuscules églises byzantines
des evzones de la garde
des cafés chic de place Kolomaki
du canal de Corinthe
d'un atelier de céramiques à Mycènes
du merveilleux théâtre d'Epidaure
de l'embarquement au Pirée
de ma chambre à 2 lits à Paros
du goût de l'ouzo, le soir
d'une équipée sauvage...en scooter
de la patronne française du blueboy
des yaourts au miel
d'une croisière ensoleillée entre Paros, Naos, Ios
des falaises de Santorin
de la montée épique en bus vers Thira
du coucher de soleil sur la baie
des ânes qui remontent du vieux port
d'avoir marché sur un volcan
d'une sortie en caïque
du calme d'Oia
des 200 marches pour remonter en ville
des petites églises blanches et bleues
On dira ce qu'on voudra : les îles grecques au printemps ont un fort goût de paradis. On aurait tort de s'en priver.
Je me souviens :
des travestis de la place Omonia à Athènes
de la foule à l'Acropole
du charme des ruelles en haut de Plaka
de minuscules églises byzantines
des evzones de la garde
des cafés chic de place Kolomaki
du canal de Corinthe
d'un atelier de céramiques à Mycènes
du merveilleux théâtre d'Epidaure
de l'embarquement au Pirée
de ma chambre à 2 lits à Paros
du goût de l'ouzo, le soir
d'une équipée sauvage...en scooter
de la patronne française du blueboy
des yaourts au miel
d'une croisière ensoleillée entre Paros, Naos, Ios
des falaises de Santorin
de la montée épique en bus vers Thira
du coucher de soleil sur la baie
des ânes qui remontent du vieux port
d'avoir marché sur un volcan
d'une sortie en caïque
du calme d'Oia
des 200 marches pour remonter en ville
des petites églises blanches et bleues