Voir Naples et sourire (8)
Dernière partie de cette tranche napolitaine : Pompéi !
Avant toute chose (ou après), il est recommandé de faire un tour au Musée archéologique de Naples qui conserve la plupart des mosaïques et sculptures retrouvées sur le site.
Pompéi est aux portes de Naples. Trente minutes de RER et descente à la station Pompei Scavi.
Première impression : mitigée. La foule des scolaires et des touristes n'incite pas à la concentration. Et puis, petit à petit, le sortilège agit et le visiteur et se téléporte comme par enchantement le 24 août 79. Le jour où le Vésuve se mit vraiment en colère.
Ensevelie sous une gaine protectrice, la ville fut redécouverte par hasard au XVIIe siècle et retrouvée dans un état de conservation inespéré : les fouilles exécutées au XVIIIe siècle permirent d'exhumer une cité florissante, précieux témoignage de l'urbanisme et de la civilisation de l'Empire romain.
Du côté des thermes.
Dans la rue Lupanara, une maison close richement décorée. La légende dit que la célèbre Zahia y avait pour client fidèle un certain Riberius, centurion de l'armée romaine, et qu'ils furent surpris en pleine action, mais bon, nous n'avons pas de preuves.
La visite de cette ville fantôme est finalement vertigineuse, comme si elle restait figée pour l'éternité. Une expérience unique transcendée par le pouvoir de l'imagination.
Petit moment de grâce. Un ténor napolitain pousse la chansonnette devant des touristes japonais interloqués.
Enfin, Apollon, lui-même, m'indique la sortie. Grazie mille !
FINE
Avant toute chose (ou après), il est recommandé de faire un tour au Musée archéologique de Naples qui conserve la plupart des mosaïques et sculptures retrouvées sur le site.
Pompéi est aux portes de Naples. Trente minutes de RER et descente à la station Pompei Scavi.
Première impression : mitigée. La foule des scolaires et des touristes n'incite pas à la concentration. Et puis, petit à petit, le sortilège agit et le visiteur et se téléporte comme par enchantement le 24 août 79. Le jour où le Vésuve se mit vraiment en colère.
Ensevelie sous une gaine protectrice, la ville fut redécouverte par hasard au XVIIe siècle et retrouvée dans un état de conservation inespéré : les fouilles exécutées au XVIIIe siècle permirent d'exhumer une cité florissante, précieux témoignage de l'urbanisme et de la civilisation de l'Empire romain.
Du côté des thermes.
Dans la rue Lupanara, une maison close richement décorée. La légende dit que la célèbre Zahia y avait pour client fidèle un certain Riberius, centurion de l'armée romaine, et qu'ils furent surpris en pleine action, mais bon, nous n'avons pas de preuves.
La visite de cette ville fantôme est finalement vertigineuse, comme si elle restait figée pour l'éternité. Une expérience unique transcendée par le pouvoir de l'imagination.
Petit moment de grâce. Un ténor napolitain pousse la chansonnette devant des touristes japonais interloqués.
Enfin, Apollon, lui-même, m'indique la sortie. Grazie mille !
FINE