A perdre Kaboul
Vous avez adoré le livre ? Vous aimerez le film. En passant à l'écran "Les cerfs volants de Kaboul" perdent de leur intensité dramatique et de leur potentiel émotionnel mais il faut reconnaître à son adaptation une réelle fidélité, non seulement narrative mais, plus important, dans l'esprit. On saura gré à Marc Foster de ne pas avoir "Hollywoodiser" le récit et de ne pas l'avoir dénaturé. Malgré quelques baisses de tension, le film est davantage qu'une honnête illustration d'un grand livre et donnera à ceux qui ne le connaissent pas encore l'envie de s'y plonger derechef.