Chouraqui et les bons sentiments
Samedi 28 octobre
Que reprocher à Chouraqui dans Ô Jerusalem, adaptation du best seller éponyme si ce n'est de faire preuve de bons sentiments et de trouver de bonnes raisons aussi bien aux arabes qu'aux juifs dans le conflit du Moyen Orient. Les ficelles sont grosses, la mise en scène pesante, l'interprétation médiocre : la leçon d'histoire méritait un autre traitement quitte à être partiale.