Elizabeth Taylor (1932-2011)
Liz Taylor est morte le 23 mars 2011, d'une insuffisance cardiaque, à Los Angeles. La femme aux 8 mariages restera avant tout une immense interprète classée en 1999 par l'American Film Institute comme la 7ème plus grande actrice de tous les temps.
Elizabeth Rosemond Taylor est née le 27 février 1932 à Hampstead (Grande-Bretagne), enfant de parents américains. A l'âge de 3 ans, elle prend ses premiers cours de danse classique avant que ses parents, en 1939, retournent habiter en Amérique, à Los Angeles. Dès 1941, elle tourne un premier film There's one born every minute avant de rejoindre la MGM. Fidèle Lassie est son premier film, suivi de Le grand National (Brown), Mon père et nous (Curtiz), Les quatre filles du docteur March (Leroy)...Jusqu'en 1950, elle poursuit en parallèle ses études avec d'autres enfants-stars à la Little Red School. Elle est désormais mûre pour jouer des rôles de femme : Le père de la mariée et Allons donc papa (Minnelli), Une place au soleil (Stevens), Ivanhoé (Thorpe), La piste des éléphants (Dieterle), La dernière fois que j'ai vu Paris (Brooks)...La fin de la décennie est marqué par deux superproductions : Géant (Stevens) et L'arbre de vie (Dmytryk) avant de trouver quelques uns de ses meilleurs rôles. Tout d'abord dans La chatte sur un toit brûlant (Brooks) puis dans Soudain l'été dernier (Mankiewicz), deux films qui lui valent une nomination aux Oscars, mais elle n'obtiendra la statuette qu'en 1961 pour La Vénus au vison. Ses ennuis de santé, et de coeur, ne l'empêchent pas, en 1963, d'être l'actrice la mieux payée du cinéma pour le rôle titre de Cléopâtre (Mankiewicz), film dont on connait les nombreux aléas, la liaison orageuse entre Liz et Richard Burton n'en étant qu'un mineur. Dans les années 60, le statut de star d'Elizabeth Taylor s'amplifie : Hôtel international (Asquith), Le chevalier des sables (Minnelli), Qui a peur de Virginia Woolf (Nichols), qui lui permet de décrocher un deuxième Oscar, La mégère apprivoisée (Zeffirelli), Reflets dans un oeil d'or (Huston), Boom et Cérémonie secrète (Losey). Son heure de gloire est passée, elle va désormais moins tourner et dans des productions, sauf exception, d'un moindre intérêt comme L'oiseau bleu (Cukor), voire des téléfilms. Très engagée dans la lutte contre le SIDA, Elizabeth Taylor vivait depuis 1980 à Bel Air, en Californie.
Elizabeth Rosemond Taylor est née le 27 février 1932 à Hampstead (Grande-Bretagne), enfant de parents américains. A l'âge de 3 ans, elle prend ses premiers cours de danse classique avant que ses parents, en 1939, retournent habiter en Amérique, à Los Angeles. Dès 1941, elle tourne un premier film There's one born every minute avant de rejoindre la MGM. Fidèle Lassie est son premier film, suivi de Le grand National (Brown), Mon père et nous (Curtiz), Les quatre filles du docteur March (Leroy)...Jusqu'en 1950, elle poursuit en parallèle ses études avec d'autres enfants-stars à la Little Red School. Elle est désormais mûre pour jouer des rôles de femme : Le père de la mariée et Allons donc papa (Minnelli), Une place au soleil (Stevens), Ivanhoé (Thorpe), La piste des éléphants (Dieterle), La dernière fois que j'ai vu Paris (Brooks)...La fin de la décennie est marqué par deux superproductions : Géant (Stevens) et L'arbre de vie (Dmytryk) avant de trouver quelques uns de ses meilleurs rôles. Tout d'abord dans La chatte sur un toit brûlant (Brooks) puis dans Soudain l'été dernier (Mankiewicz), deux films qui lui valent une nomination aux Oscars, mais elle n'obtiendra la statuette qu'en 1961 pour La Vénus au vison. Ses ennuis de santé, et de coeur, ne l'empêchent pas, en 1963, d'être l'actrice la mieux payée du cinéma pour le rôle titre de Cléopâtre (Mankiewicz), film dont on connait les nombreux aléas, la liaison orageuse entre Liz et Richard Burton n'en étant qu'un mineur. Dans les années 60, le statut de star d'Elizabeth Taylor s'amplifie : Hôtel international (Asquith), Le chevalier des sables (Minnelli), Qui a peur de Virginia Woolf (Nichols), qui lui permet de décrocher un deuxième Oscar, La mégère apprivoisée (Zeffirelli), Reflets dans un oeil d'or (Huston), Boom et Cérémonie secrète (Losey). Son heure de gloire est passée, elle va désormais moins tourner et dans des productions, sauf exception, d'un moindre intérêt comme L'oiseau bleu (Cukor), voire des téléfilms. Très engagée dans la lutte contre le SIDA, Elizabeth Taylor vivait depuis 1980 à Bel Air, en Californie.