Frais comme un Doillon

Et c'est reparti pour un tour de manège dans le cinéma de Doillon, cinéaste unique en son genre même si on pourrait le ranger, pour son dernier film "Le premier venu", quelque part entre les frères Dardenne et Rohmer. Un conseil : ne pas y  chercher une dramaturgie logique, on y avance par à coups, au gré de la fantaisie d'un auteur qui mise tout sur des dialogues vif argent et la fraîcheur de vivre de ses interprètes, tous épatants. On était parti pour (peut-être) s'ennuyer et, surprise, la légèreté de l'oeuvre fait passer le temps à toute vitesse.



11/04/2008
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