Hollywoodland sans relief

Après de Palma, voici avec Hollywoodland une nouvelle plongée nostalgique dans une époque perdue qui se veut une relecture du film noir. La reconstitution et l'interprétation ne sont pas en cause mais il manque à cette évocation une véritable flamme. La construction, désormais classique entre l'enquête du privé et l'existence passée du défunt, est paresseuse et n'apporte rien. Bref, une déception.


08/01/2007
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