Jouissance et réjouissances (Kaboom)
Le côté bordélique de Kaboom de Gregg Araki n'est qu'apparent.
Tout y est pesé, pensé avec une adresse diabolique pour faire
fonctionner ce délire sous contrôle.
Sexe, drogues et paranoïa. Un cocktail explosif, porté par une vision hédoniste et sans tabous de l'existence, du genre "jouissons, avant que la fin du monde ne nous rattrape."
La dénouement laisse un peu perplexe, vaguement pompé sur En quatrième vitesse d'Aldrich, mais il fallait bien finir. Autant que ce soit radical.
Bon dosage entre plaisir immédiat et inquiétude du lendemain, le premier l'emportant haut la main.
Epatante bande d'interprètes, beaux, délurés et décomplexés. Rythme trépidant, dialogues crépitants, mise en scène aux taquets.
Un produit instantané, qui prend le risque de s'auto-détruire aussitôt consommé. Cela fait partie du fun et de l'époque. En attendant, la jouissance, c'est réjouissant.
Un joujou extra qui fait Kaboom Hue ...
Sexe, drogues et paranoïa. Un cocktail explosif, porté par une vision hédoniste et sans tabous de l'existence, du genre "jouissons, avant que la fin du monde ne nous rattrape."
La dénouement laisse un peu perplexe, vaguement pompé sur En quatrième vitesse d'Aldrich, mais il fallait bien finir. Autant que ce soit radical.
Bon dosage entre plaisir immédiat et inquiétude du lendemain, le premier l'emportant haut la main.
Epatante bande d'interprètes, beaux, délurés et décomplexés. Rythme trépidant, dialogues crépitants, mise en scène aux taquets.
Un produit instantané, qui prend le risque de s'auto-détruire aussitôt consommé. Cela fait partie du fun et de l'époque. En attendant, la jouissance, c'est réjouissant.
Un joujou extra qui fait Kaboom Hue ...