Mélo à Tokyo

Une fille enceinte au bord du suicide, une femme qui quitte son mari, une mère qui a abandonné ses filles plus tôt : tous les ingrédients du mélo le plus lacrymal sont réunis dans "Crépuscule à Tokyo".
Jamais Ozu n'a été aussi sombre et pessimiste que dans cette oeuvre qui n'en est pas moins magistrale et, comme toujours chez lui, empreinte d'une empathie pour ses personnages. Sans doute est ce son film le plus proche de l'univers de son grand contemporain : Naruse.


14/02/2007
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