Nouvelle vague indienne
Depuis 20 ans, la littérature indienne est l'une des plus prolifiques et passionnantes avec des figures telles que Ghosh, Seth, Roy, Tharoor etc. Voici qu'aujourd'hui déferle une avalanche régénèrante de romans signée d'écrivains d'à peine 30 ans qui donnent une autre image de l'Inde, liée à l'explosion économique du pays.
J'ai déjà parlé d'Une nuit@the call center mais ses facilités d'écriture en font une oeuvre mineure comparée à Aucun dieu en vue, premier roman d'Altaf Tyrewala, qui sur un principe proche de La ronde de Schnitzler fait le portrait d'une trentaine de personnages emblématiques de Bombay. Une oeuvre au vitriol, très réaliste, qui fait forte impression.
Autre ville : Delhi, autre style, avec Babyji de Abha Dawesar, le roman d'une Lolita qui n'a pas froid aux yeux et contourne tous les tabous de la société indienne au risque de se brûler les ailes. Un bouquin culotté, frontal, où une fois encore l'aspect social est très présent.
J'ai déjà parlé d'Une nuit@the call center mais ses facilités d'écriture en font une oeuvre mineure comparée à Aucun dieu en vue, premier roman d'Altaf Tyrewala, qui sur un principe proche de La ronde de Schnitzler fait le portrait d'une trentaine de personnages emblématiques de Bombay. Une oeuvre au vitriol, très réaliste, qui fait forte impression.
Autre ville : Delhi, autre style, avec Babyji de Abha Dawesar, le roman d'une Lolita qui n'a pas froid aux yeux et contourne tous les tabous de la société indienne au risque de se brûler les ailes. Un bouquin culotté, frontal, où une fois encore l'aspect social est très présent.