Out of Australia (9)
Out of Australia
Episode 6 : En me baladant dans Sydney
Le vol Hobart-Sydney est un amuse gueule, une heure et demi seulement. La bonne nouvelle, c'est que l'aéroport est situé à moins de quinze minutes du centre-ville, via le monorail qui est peu le métro de Sydney, sauf qu'il est aérien et peu étendu.
Après avoir renseigné des australiens perdus (c'est un signe, ça m'arrive souvent en débarquant dans une ville inconnue, et cela me conforte dans l'idée que le séjour va être réussi), je trouve mon hôtel à proximité. Moyenne gamme, on va dire, avec des prix exorbitants. Le coût de la vie à Sydney est hélas plus élevé qu'à Paris, je ne vais pas tarder à m'en apercevoir. La chambre est correcte, nonobstant des fenêtres situées a au moins trois mètres de hauteur. Pour jouir d'une vue sur l'extérieur, je dois donc grimper sur le lit et sauter. C'est pratique.
Premières impressions de Sydney : de bonnes vibrations, de l'énergie, un petit côté new yorkais. Et une surprise, la population asiatique est très importante. Certes, je suis proche de Chinatown, mais le sentiment est confirmé par les chiffres d'émigration. Ca me plait bien et le nombre de restaurants japonais, vitnamiens, chinois ou indiens va me permettre de varier les menus.
Le bon plan, pour aller à la découverte de la ville, c'est le Free Tour proposé par des étudiants et qui permet, à pied, de voir les principaux quartiers "historiques" de Sydney. 3 heures de promenade dans une petit groupe d'une quinzaine de personnes, avec les anecdotes de notre guide hilare en sus. Nous remontons donc la grande artère qu'est George Street (la grande boutique Nespresso est à l'un de ses angles, where else ?) et explorons les quartiers les plus anciens (tout est relatif, hein), avec ses architectures victoriennes.
Je poursuis, on my own, dans The Rocks, le quartier où les premiers européens se sont installés en 1788 et dont les entrepôts ont été remplacés par des restaurants, cafés et musées. Cool.
Et, comme de bien entendu, c'est une habitude lorsque je voyage, je tombe sur un mariage.
Next stop : Sous le bitume, la plage.
Episode 6 : En me baladant dans Sydney
Le vol Hobart-Sydney est un amuse gueule, une heure et demi seulement. La bonne nouvelle, c'est que l'aéroport est situé à moins de quinze minutes du centre-ville, via le monorail qui est peu le métro de Sydney, sauf qu'il est aérien et peu étendu.
Après avoir renseigné des australiens perdus (c'est un signe, ça m'arrive souvent en débarquant dans une ville inconnue, et cela me conforte dans l'idée que le séjour va être réussi), je trouve mon hôtel à proximité. Moyenne gamme, on va dire, avec des prix exorbitants. Le coût de la vie à Sydney est hélas plus élevé qu'à Paris, je ne vais pas tarder à m'en apercevoir. La chambre est correcte, nonobstant des fenêtres situées a au moins trois mètres de hauteur. Pour jouir d'une vue sur l'extérieur, je dois donc grimper sur le lit et sauter. C'est pratique.
Premières impressions de Sydney : de bonnes vibrations, de l'énergie, un petit côté new yorkais. Et une surprise, la population asiatique est très importante. Certes, je suis proche de Chinatown, mais le sentiment est confirmé par les chiffres d'émigration. Ca me plait bien et le nombre de restaurants japonais, vitnamiens, chinois ou indiens va me permettre de varier les menus.
Le bon plan, pour aller à la découverte de la ville, c'est le Free Tour proposé par des étudiants et qui permet, à pied, de voir les principaux quartiers "historiques" de Sydney. 3 heures de promenade dans une petit groupe d'une quinzaine de personnes, avec les anecdotes de notre guide hilare en sus. Nous remontons donc la grande artère qu'est George Street (la grande boutique Nespresso est à l'un de ses angles, where else ?) et explorons les quartiers les plus anciens (tout est relatif, hein), avec ses architectures victoriennes.
Je poursuis, on my own, dans The Rocks, le quartier où les premiers européens se sont installés en 1788 et dont les entrepôts ont été remplacés par des restaurants, cafés et musées. Cool.
Et, comme de bien entendu, c'est une habitude lorsque je voyage, je tombe sur un mariage.
Next stop : Sous le bitume, la plage.