Piètre M.C solaire
Quand on s'attaque à un sujet comme l'espace, il faut savoir choisir son camp : métaphysique (voir Kubrick) ou aventure (voir Ridley Scott). Dans Sunshine, Danny Boyle oscille entre les deux et se révèle un bien piètre M.C solaire. ON se désintéresse rapidement de cette épopée spatiale qui ressemble à un mauvais épisode de Star Trek (pléonasme ?).