Séances de rattrapage (Of time and the city/Romaine par moins trente)
Deux films ratés en salles, découverts en DVD.
Un essai plus qu'un documentaire avec un parti pris nostalgique et mélancolique. Le commentaire de Davies, en voix off, balance entre poésie et grandiloquence. Le réalisateur préfère Mahler aux Beatles, c'est son droit. Et lui, athée convaincu, n'en finit pas de citer Dieu. Ce portrait d'une ville est très personnel, l'intérêt qu'on lui portera sera fonction de son humeur et de sa sensibilité.
Tout en linéarité, le film assume son caractère loufoque jusqu'au bout. Il y manque l'étincelle de folie qui mettrait le feu aux poudres et une écriture plus dense, tant les personnages, hormis Romaine, sont dépourvus d'épaisseur. Kiberlain, qui semble éberluée d'être dans le film, joue parfaitement les tempêtes de neige et emporte tout sur son passage. A voir pour elle.
Un essai plus qu'un documentaire avec un parti pris nostalgique et mélancolique. Le commentaire de Davies, en voix off, balance entre poésie et grandiloquence. Le réalisateur préfère Mahler aux Beatles, c'est son droit. Et lui, athée convaincu, n'en finit pas de citer Dieu. Ce portrait d'une ville est très personnel, l'intérêt qu'on lui portera sera fonction de son humeur et de sa sensibilité.
Tout en linéarité, le film assume son caractère loufoque jusqu'au bout. Il y manque l'étincelle de folie qui mettrait le feu aux poudres et une écriture plus dense, tant les personnages, hormis Romaine, sont dépourvus d'épaisseur. Kiberlain, qui semble éberluée d'être dans le film, joue parfaitement les tempêtes de neige et emporte tout sur son passage. A voir pour elle.