Shalom spécial



Difficile de trouver des références pour le cinéma de Raphaël Nadjari. "Tehilim", son petit dernier, effleure les sentiments, frôle les crises, évoque les intolérances mais sans appuyer ses effets, en adoptant une mise en scène minimaliste qui crée un climat envoûtant auquel, je le conçois, on peut rester imperméable.
Nadjari est un cinéaste rare, précieux par sa singularité quoique volontiers claustrophobe. On attend qu'il libère son style, qu'il aère ses scenarios et il ne sera pas loin de toucher le grand public.



05/06/2007
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