Une sorte de train-train
Wes Anderson est atypique dans le cinéma américain. Il a quelque chose qui le rapproche de certains cinéastes européens, scandinaves par exemple. Ne serait-ce que ce sens de l'absurde, des situations cocasses et dans le choix de personnages énigmatiques plutôt pusillanimes et insipides. Darjeeling est dans la continuité de son oeuvre et demeure sur les rails sans audace et sans fracas. On peut s'en contenter mais se dire aussi que Wes Anderson frôle la parfaite désinvolture.
PS : film vu à bord d'un avion et donc dans des conditions imparfaites.
PS : film vu à bord d'un avion et donc dans des conditions imparfaites.