Fin d'exil

Les exilés de la mémoire de l'hispano/mexicain Jordi Soler était une bonne surprise littéraire, dans un registre nostalgique et picaresque, à cheval sur deux cultures et deux continents. La dernière heure du dernier jour est comme une suite dont on aurait retiré toute la sève originelle. On s'ennuie un peu devant la vie de cette plantation mexicaine et cette évocation d'un passé révolu. Comme si tout avait été dit, et bien mieux, dans le roman précédent.



30/09/2008
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