Les hommes de Rio (Jamais sans toi)
J'avais omis de dire un mot sur le film brésilien Jamais sans toi, sorti le 12 mai, et vu au début de l'été. Pas de regret à avoir pour ceux qui l'auraient raté.
A Rio, deux demi-frères s'aimaient d'amour tendre. Depuis l'enfance, et plus encore à l'âge mûr. Presque un film sur l'inceste, presque seulement. Parce que le réalisateur, Aluizio Abranches traite son sujet comme une telenovela, dans une mièvrerie absolue, lui évitant de développer son thème, et tout le soufre qui l'entoure. Dans Jamais sans toi (le titre dit l'essentiel), tout est très joli, les garçons, leur maison, leurs amis, sans parler des scènes de plage ou de boîtes de nuit sélect. Un érotisme soft tient lieu d'audace suprême dans ce curieux film à l'eau de rose, sans scénario et sans mise en scène, une bluette insipide à regarder d'un oeil distrait.
A Rio, deux demi-frères s'aimaient d'amour tendre. Depuis l'enfance, et plus encore à l'âge mûr. Presque un film sur l'inceste, presque seulement. Parce que le réalisateur, Aluizio Abranches traite son sujet comme une telenovela, dans une mièvrerie absolue, lui évitant de développer son thème, et tout le soufre qui l'entoure. Dans Jamais sans toi (le titre dit l'essentiel), tout est très joli, les garçons, leur maison, leurs amis, sans parler des scènes de plage ou de boîtes de nuit sélect. Un érotisme soft tient lieu d'audace suprême dans ce curieux film à l'eau de rose, sans scénario et sans mise en scène, une bluette insipide à regarder d'un oeil distrait.