Nelson moins fort



Ou en est le cinéma américain indépendant ? Toujours dans cette frange étroite entre films "commerciaux" des grands studios et art et essai. Half Nelson, signé Ryan Fleck, symbolise ce cinéma américain original mais limité dans son ambition (et ses moyens). Une sorte de grisaille accompagne tout le film où le réalisateur se refuse à juger et se montre incapable de conclure. Pas mauvais du tout mais comment voulez vous être enthousiasmé par un film aussi revêche ?


25/07/2007
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