Sexe, drogue et publicité

Le brûlot de Beigbeder avait fait du bruit dans le Landerneau parisien, son adaptation en fera beaucoup moins. Démolir la société de consommation et ceux qui s'engraissent sur son dos, les publicitaires, n'a rien de révolutionnaire. Plus intéressante est la mise en abyme du héros et la forme destructurée et inventive de la narration de cette histoire de sexe, drogue et publicité. On avait quelques doutes sur le talent de cinéaste de Kounen, en partie levés ; on n'en avait pas sur celui de Dujardin, capable de tout jouer.



14/10/2007
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