Alger la branche
C'est si bon d'avoir des nouvelles cinématographiques d'Afrique du nord. En Algérie, Nadir Moknèche s'impose désormais comme la référence et ce n'est pas "Délice Paloma" avec sa fidèle et iconique Biyouna qui va changer la donne. Loin d'être parfait (l'interprétation est parfois approximative) et parfois languissant, le film séduit par son audace, sa bonne humeur et son mépris des clichés qui collent à la peau du pays. La véritable Algérie est davantage présente ici que dans tous les reportages d'actualité.