Chacun cherche son Tchad

D'une sécheresse et d'une âpreté inouies, Daratt, du tchadien Haroun, témoigne également de la difficulté dé réapprendre à vivre en paix dans un pays ravagé par la guerre civile. Econome de mots mais pas de regards, le film est exigeant et se mérite.
Le cinéma africain est toujours vivant, tant bien que mal, mais où sont passés ses maîtres, Cissé le malien et Ouedraogo, le burkinabé. On attend des nouvelles...


05/01/2007
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 9 autres membres